La France a refusé de répondre aux hélicoptères transportant des terroristes du PKK

Le ministère français des Affaires étrangères a refusé de répondre aux questions concernant la destruction d’un hélicoptère soupçonné de transporter des terroristes du PKK dans le nord de l’Irak.

L’hélicoptère s’est écrasé mercredi dans la région irakienne de Duhok, et un jour plus tard, le gouvernement régional kurde irakien (GRK) a déclaré que certains des passagers à bord étaient des membres de l’organisation terroriste PKK.

Répondant aux questions de l’Agence Anadolu (AA) sur l’incident, le ministère français des Affaires étrangères a déclaré: « Nous n’avons aucun commentaire ».

Le KRG a déclaré plus tôt qu’il avait contacté le gouvernement irakien, les forces de la coalition internationale dirigée par les États-Unis et la Turquie au sujet de l’accident de Duhok.

L’hélicoptère n’appartenait pas au groupe terroriste PKK, mais plusieurs de ses membres étaient à bord.

Les découvertes préliminaires indiquent qu’il s’agissait d’un hélicoptère Eurocopter AS350 et que certaines des victimes de l’accident étaient des terroristes du PKK. L’hélicoptère est conçu et fabriqué en France

Une enquête détaillée est en cours pour déterminer à qui appartenait l’hélicoptère.

Dans sa campagne de terreur contre la Turquie depuis plus de 40 ans, le PKK – qui est répertorié comme organisation terroriste par la Turquie, les États-Unis et l’Union européenne – est responsable de la mort de plus de 40 000 personnes, dont des femmes, des enfants et des nourrissons .

Charlotte Baudin

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