Un soldat syrien tué et 11 blessés dans l’explosion d’un bus à Damas

Un soldat syrien a été tué et 11 autres blessés hier, mardi, lorsqu’un engin explosif a été posé sur un bus de transport militaire dans la nuit près d’un rond-point douanier à Damas, selon ce que des médias ont cité des sources militaires, tandis que des organisations non gouvernementales ont de nouveau mis en garde à Paris au sujet du « risque de mort » qui menace les enfants français d’enfants « ISIS » détenus dans le nord-est de la Syrie, notant que certains d’entre eux s’y trouvent depuis 2017, appelant les autorités françaises à les renvoyer dans leur patrie.

Des sources militaires syriennes ont indiqué que « vers 07h25 hier, le 15 février 2022, un engin explosif posé devant un bus militaire dans la nuit a explosé dans la ville de Damas près du rond-point des douanes, tuant un soldat et en blessant 11 autres ».

En revanche, Patrick Baudouin, président honoraire de la Fédération internationale des ligues des droits de l’homme, a déclaré aux médias qu’il n’y avait « aucune raison réelle de s’opposer » à leur retour, ajoutant : « Sinon, tout était dans l’intérêt de leur retour : vivre Des enfants qui « n’ont pas choisi de partir, c’était le choix de leurs parents ». Une conférence de presse organisée par la Ligue des droits de l’homme d’Amnesty International et d’autres organisations non Des Françaises ayant rejoint l’Etat islamique et 200 enfants détenus dans le camp de Rojava contrôlé par les Kurdes, dans le nord-est de la Syrie. des opérations similaires pour des adultes autres que certains de ses voisins européens.

« Penser à ces enfants me brise le cœur, mais il y a aussi des problèmes de sécurité en France avec lesquels il faut compter », a déclaré la ministre française de la Citoyenneté, Marlène Schiappa, sur BFMTV, évoquant les risques de sécurité qu’elle représentait, selon elle. reviendra au pays.

A ce jour, la France a rapatrié 35 mineurs, pour la plupart orphelins. D’autres sont revenus grâce au protocole de Cazeneuve, du nom de l’ancien ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve (2014-2016) et conclu entre Ankara et Paris en 2014, qui est un accord de coopération sécuritaire permettant la capture de terroristes revenant de Syrie via la Turquie à leur retour. . (agence)

Fernand Lefèvre

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