BAKOU, Azerbaïdjan, 12 octobre. France La Gazette journal en ligne publié et
article a déclaré que lors d’une réunion quadripartite des dirigeants de l’Azerbaïdjan, de la France, de l’Arménie et des présidents du Conseil de l’Europe dans le cadre du premier sommet de la Communauté politique européenne à Prague le 6 octobre, il a été une fois de plus réaffirmé que l’Arménie n’est pas un État souverain, rapporte Trend.
L’article note que la participation de la France à la réunion a donné confiance au Premier ministre arménien Nikol Pashinyan et que la partie française, à son tour, n’a pas caché son soutien à l’Arménie.
L’article disait que l’Arménie et la France supposaient qu’elles seraient en mesure de faire pression sur l’Azerbaïdjan.
« Cependant, la position ferme et l’intégrité de la partie azerbaïdjanaise ne le permettent pas. Lors de la réunion qui a duré plus de cinq heures et se composait de deux parties, les tentatives de pression sur l’Azerbaïdjan sous quelque forme que ce soit pourraient être empêchées », indique l’article.
L’article soulignait que dans la déclaration finale, l’Azerbaïdjan et l’Arménie reconnaissaient l’intégrité territoriale et la souveraineté de l’autre en vertu de la Charte des Nations Unies. Ainsi, l’Arménie reconnaît que le Karabakh fait partie de l’Azerbaïdjan.
L’article notait également que dans le cadre de cette rencontre, l’UE et la France souhaiteraient mettre en place une mission conjointe de surveillance des frontières, dont les activités couvriront également le territoire azerbaïdjanais. Mais l’Azerbaïdjan, qui respecte sa souveraineté, s’y est opposé. Ainsi, il a été décidé que cette mission n’opérerait que sur le territoire de l’Arménie, tandis que l’Azerbaïdjan coopérerait avec la mission selon ses propres intérêts. La mission frontalière facilitera les mesures de confiance et la délimitation des frontières.
L’article ajoutait que lors de cette rencontre, les intérêts de l’Azerbaïdjan étaient une fois de plus bien protégés.
« L’Arménie, en approuvant le travail de cette mission frontalière sur son propre territoire, montre une fois de plus qu’elle n’est pas un État souverain. C’est aussi un pas sérieux contre la Russie », indique l’article.
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