Les influenceurs musulmans font face à des restrictions du gouvernement français avec «Tik Tok» | nouvelles politiques

Le journal français (La Croix) s’est exprimé dans son enquête sur la vague d’influenceurs musulmans sur le site de réseautage social (Tik Tok) en France.

Il a dit qu’ils avaient un large public qui regardait de très courtes vidéos consacrées à l’enseignement de la religion, et que les influenceurs se concentraient dans leurs clips sur le rappel de ce qu’est la religion et ce qu’elle n’est pas autorisée (halal et interdite) par la religion.

Le journal a qualifié le clip de « court, dynamique et engageant », ciblant les musulmans mais influençant de plus en plus un cercle plus large.

Dans une enquête menée par (Lacroix), de jeunes hommes français ont déclaré vouloir se convertir à l’islam après avoir suivi ce contenu, et une jeune femme a expliqué qu’une des influences musulmanes l’avait beaucoup influencée, décrivant sa personnalité comme « familiale ».

peur de l’influence

Dans le contexte de la guerre menée par le gouvernement français contre l’islam, le journal n’a pas hésité à alerter sur le phénomène, étant donné que « les clips diffusent une vision rigide et stricte de l’islam », selon ses termes.

L’enquête a conclu que certains de ces clips appelaient à « l’extrémisme », et la chaîne (C News), qui a géré l’enquête du journal dans un rapport, a cité le Dr. Arnaud Lacheret, politologue et spécialiste de l’islam, a déclaré que « les adeptes de ce clip courent le risque de suivre une version de l’islam qui les aliène ». Cela les sépare du reste de la société.

Il a déclaré que le Comité ministériel conjoint pour « prévenir la déviance et l’extrémisme » s’était adressé aux jeunes via le site de réseautage social, avec seulement 6 000 abonnés, contre plus d’un million pour certains influenceurs musulmans sur Tik Tok.

Modèle « Islam français »

Parlant de la « version islamique », Lacheret faisait référence au modèle établi par le gouvernement français à travers la « Charte française des principes islamiques », que toutes les institutions islamiques du pays sont obligées de suivre.

La charte a provoqué une scission au sein du (Conseil religieux islamique français), qui est la plus grande institution islamique officielle de France, entraînant la sortie de plusieurs instances de celui-ci. Puis le président du Conseil, Mohamed Misawi, a annoncé, la semaine dernière, son intention de s’y introduire et d’établir un nouvel organisme qui couvre tous les musulmans français.

Les instances qui rejettent la charte ont condamné le document, affirmant qu’il contenait « des paragraphes qui portent atteinte à l’honneur des musulmans et qui ont un caractère accusateur et marginal et affaiblissent les liens de confiance entre les musulmans français et la nation ».

Et il a déclaré dans un communiqué que « la constitution française garantit la liberté des citoyens en matière de croyance religieuse et d’obligations civiles, il n’est donc pas nécessaire d’utiliser les déclarations ou obligations imposées aux musulmans et aux organisations qui les représentent, et qu’ils doivent être traités comme les adeptes des autres religions et de leurs organisations, dans le cadre des droits et obligations reconnus par la constitution, le droit français et international.

se rétrécit

Le gouvernement français a renforcé les restrictions imposées aux musulmans, fermant un grand nombre de mosquées et d’écoles islamiques et promulguant une loi (anti-séparatiste) interdisant aux filles de moins de 18 ans de porter le foulard en public et de couvrir leurs vêtements. corps dans la piscine.

La loi cible les musulmans de France, impose des restrictions sur tous les aspects de leur vie et cherche à désigner certains problèmes rares comme chroniques.

La France est l’un des plus grands pays européens en termes de taille de la communauté musulmane et à la mi-2016, environ 5,7 millions de musulmans y vivaient, soit 8,8% de la population totale.

Fernand Lefevre

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