Le Premier ministre marocain Aziz Akhannouch a déposé une plainte en diffamation contre l’ancien eurodéputé vert José Bové après avoir fait des allégations de tentative de corruption à la radio la semaine dernière.
Alors que le scandale du QatarGate continue de se dérouler, l’ancien eurodéputé vert José Bové porte ses accusations Inter français au cours d’une diffuser.
Dans ses accusations contre le pays, Bové a cité son temps en tant que rapporteur de la commission du commerce extérieur du Parlement européen de 2009 à 2014 et rappelle son opposition à l’accord commercial UE-Maroc alors débattu sur les fruits et légumes.
En raison de son opposition, le ministre marocain de l’Agriculture et aujourd’hui Premier ministre Aziz Akhannouch a invité Bové dans « un café secret ». Ils ont dit qu’il lui ferait un cadeau, ce qui, selon l’ancien député européen, était définitivement de l’argent. Mais comme Bove n’a pas réagi, l’accord entre les deux « s’est arrêté là », a déclaré Bove.
Akhannouch, selon Bové, avait le soutien d’une « association amicale » composée d’élus européens de tous les partis politiques.
« Certains députés européens en profitent », a déclaré Bove, qui s’est félicité de la décision de la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, d' »abolir tous les [the unofficial friendship groups] et révisez le son au fur et à mesure.
Suite aux allégations de Bové, Akhannouch a déposé une plainte en diffamation qualifiant les accusations « inacceptables » et « fausses » – qui n’étaient « que le reflet d’une haine de longue date » de Bové, AFP rapports, qui consultent des documents.
Les avocats d’Akhannouch en France ont fait valoir que « Bové tente manifestement et malhonnêtement d’exploiter l’actualité judiciaire concernant le Parlement européen, pour répandre de vieilles histoires sans fondement », a rapporté l’AFP.
(Davide Basso | EURACTIV.fr)
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