8ème conférence nationale sur les stages : pour une mobilité étudiante vers plus de professionnalisation en Europe

Le 1er février, Association des villes universitaires de France a organisé la 8e Conférence nationale des stages et d’autres actions professionnelles pour les étudiants en collaboration avec le ministère français de l’enseignement supérieur »,Conférence d’établissements» (réseau d’établissements dont la CDEFI, la CGE et France Universités) et l’assurance santé étudiante HEYME. La conférence de cette année se concentre sur les aspects internationaux, et plus particulièrement sur la mobilité professionnelle des étudiants en Europe.

« Association des Villes Universitaires de France» (AVUF, Association des villes universitaires de France) regroupe une centaine de collectivités territoriales (villes, agglomérations, départements de taille «département”) soutient la recherche et l’enseignement supérieur dans leur domaine et “œuvre à accroître l’efficacité de ce soutien”. Pour atteindre cet objectif, l’AVUF organise chaque année des conférences sur les stages et les formations professionnelles pour les équipes des établissements d’enseignement supérieur, mais aussi pour les étudiants et chercheurs et les entreprises partenaires. Voici un aperçu de ce que défend l’association des établissements d’enseignement supérieur français.

Plus de valeur pour la mobilité

La mobilité étudiante européenne est un « facteur de vocation », a déclaré France Universités, l’une des présentatrices. Pour l’association des Présidents d’Universités, de nombreux étudiants décident au cours de leurs études universitaires d’effectuer des stages à l’étranger, et notamment en Europe. En effet, l’apprentissage a « une valeur fondamentale dans la formation universitaire, dans le accompagner l’insertion professionnelle”.

Si effectuer un stage en entreprise est sans aucun doute un outil d’insertion dans le monde professionnel, il devient un un atout important en cas d’installation dans d’autres pays européens pour tous les étudiants qui essaient de développer leur expérience et de reprendre.

De nombreux dispositifs et partenariats au service de la mobilité

Comme le souligne un autre partenaire appelé CGE (Conférence des grandes écoles, réseau des grandes écoles professionnelles), cette la mobilité professionnelle par « multiples vecteurs »qu’il s’agisse d’un stage effectué dans le cadre d’Erasmus+ et d’autres programmes, ou d’un travail volontaire à l’initiative du Corps européen de solidarité.

Un tel programme de mobilité, dit la CGE, aussi basé sur « de nouveaux mécanismes dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche européens rendus possibles grâce à l’alliance des universités européennes », et notamment en entrepreneuriat. Les paris sur le programme de mobilité sont également encouragés par collectivités publiques locales agissant comme « acteur de soutien et de coordination de tous les acteurs de l’environnement de l’enseignement supérieur et de la recherche », et comme « maillon important dans la promotion et la mise en œuvre des programmes de mobilité étudiante ».

Préparation et accompagnement à la mobilité

Selon la CGE, préparation et accompagnement aux étudiants des programmes de mobilité professionnelle est très importante, car le programme doit être considéré comme « un aspect important qui est pleinement inclus dans le cursus de formation ». Programmes et unités d’études développés par des institutions qui se concentrent sur « paris interculturels » en particulier. Dans le cadre de ce processus, les étudiants préparant leur échange de mobilité peuvent également bénéficier de accompagnement du réseau des diplômés dans leur établissement”. Selon la CGE, ils peuvent « apporter un soutien financier, faciliter leur intégration dans le pays d’accueil, et aider les étudiants à préparer leurs entretiens dans leur future entité d’accueil ». Les élèves peuvent aussi utiliser « un grand nombre ressources externespour préparer leur échange de mobilité et accomplir les démarches administratives, tout comme les étudiants associations comme ESN (Réseau étudiant européen).

Nouveaux défis

Ce pick-up est intéressé par les programmes de mobilité internationale”ça ne doit pas cacher le reste obstacles à lever afin que ce programme devienne une réalité pour le plus grand nombre d’étudiantssouligne CGE. La CGE souligne également que « la manque de ressources financières» peut être le plus grand obstacle pour les programmes de mobilité étudiante. « Les subventions offertes par les différents programmes ne couvrent pas l’intégralité des dépenses, et un cadre européen est toujours nécessaire pour le paiement des salaires d’apprentissage ».

Et enfin, les participants ont dit : « une attention critique à défis environnementaux ne doit pas conduire à l’extinction de la mobilité internationale ». Ils doivent être « fermement défendus » et « il est important de se concentrer davantage voyager autrement”.

Comme l’ont souligné tous les participants, les stages et la mobilité en Europe valeur ajoutée considérable. Cependant, ils ont posé « un certain nombre de questions aux étudiants, aux établissements d’origine et aux établissements d’accueil ».

Ce Conférence au niveau national répondre à ces questions donne une long focus sur le partage d’expériences dans le entrepreneuriat étudiant.

La conférence est organisée selon cinq tables rondes:

  • Mobilité étudiante européenne: expériences, opportunités, obstacles et risques ;
  • cadre différent de Mobilité étudiante européenne (hors études);
  • entrepreneuriat étudiant dans les partenariats européens ;
  • préparation, accompagnement et promotion des programmes européens de mobilité étudiante;
  • Ce nouvelle alliance peut-être entre les universités et les régions pour « un enseignement supérieur et une recherche européens plus inclusifs et bénéfiques ».

Lancelot Bonnay

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