Smode Tech a annoncé un nouveau partenariat avec le laboratoire artistique lyonnais LABLAB, qui utilise le logiciel Smode pour contrôler ses flux de travail vidéo et audio expérimentaux.

LABLAB se définit comme une « fabrique numérique d’expérimentation » et propose un espace de recherche et de création d’expériences audiovisuelles, immersives et interactives. Situé au sein du Pôle Pixel, pôle créatif abritant des entreprises innovantes de la métropole française, LABLAB permet l’échange entre créateurs travaillant dans les domaines du cinéma, du jeu vidéo et de l’art numérique.

« Smode consomme beaucoup moins de performances que les solutions précédentes, notamment en mode « diffusion » », a déclaré Jonathan Richer, directeur technique vidéo de LABLAB et directeur créatif du studio de création Théoriz. « C’est également plus rapide à démarrer et nous donne un avantage global sur notre PC. Nous pouvons désormais accueillir une équipe artistique sans consacrer quatre heures uniquement à l’élément vidéo. Cela est particulièrement vrai pour les entrées directes, que nous pouvons acheminer plus facilement vers notre espace de pixels.

La ville de Lyon accueille certains des événements artistiques les plus passionnants de France, notamment la Fête des Lumières, les Nuits Sonores et le festival du cinéma Lumière. LABLAB a accueilli plus d’une douzaine d’équipes créatives au cours de la dernière année avec des besoins variés et Smode est principalement utilisé avec les systèmes sonores immersifs du hub, soutenant des projets de danse, des performances théâtrales et des installations interactives.

La solution de composition en temps réel et le serveur multimédia de Smode prennent en charge le contenu audio-réactif, chaque paramètre pouvant être lié à un canal audio, a déclaré Richer. Il a également souligné l’interface utilisateur facile à utiliser de Smode et l’intégration avec VIOSO comme éléments clés de la migration de LABLAB vers le système.

« Dès qu’il faut gérer des flux, tout devient plus simple. Et la possibilité d’importer des fichiers d’étalonnage cartographique externes – dans notre cas VIOSO, avec qui nous travaillons également en partenariat – est essentielle », ajoute Richer.