Revue The Art of Illusion : Un carrousel d’idées éphémère mais amusant | Théâtre | Divertissement

Houdin était un magicien français du XIXe siècle (Harry Houdini a pincé son nom de scène) tandis que Méliès était celui qui a développé des images animées dans des films fantastiques.

Six joueurs apparaissent comme des personnages divers, dirigés par The Watchmaker (Martin Hyder) qui agit comme une sorte de MC de cabaret ainsi que de narrateur, explorant l’histoire des illusionnistes et des escrocs tout en exécutant quelques tours de magie de base.

Deux intrigues peinent à émerger, destinées à illustrer la différence entre le destin, le hasard et la mauvaise direction volontaire.

En 1984, un jeune homme (Brian Martin) rend un sac qu’il a volé à son propriétaire (Bettrys Jones), ignorant qu’il a été « joué », tandis que la cave parisienne devient le centre de deux époques illusoires importantes, 1844 et 1888.

Habilement traduite du français par Waleed Akhtar, la pièce est un carrousel d’idées qui finit par tourner hors de son axe.

Mais Tom Jackson Greaves a fait des merveilles sur une scène composée d’un peu plus que de longs rideaux de velours et d’un petit podium surélevé alors que six interprètes alternaient tenues, accents, âges, sexes et époques avec une aisance vertigineuse et (presque) transparente, quels que soient les accessoires capricieux. .

Éphémère mais amusant.

  • The Art of Illusion au Hampstead Theatre jusqu’au 28 janvier Billets : 020 7722 9301

Jacques Fontaine

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