Délégation du ministre français du Commerce extérieur Olivier Betch a rencontré des représentants des entreprises du Pacifique Sud pour discuter de l’intégration régionale française.
Le French Pacific Business Forum a accueilli lundi plusieurs entreprises françaises du Pacifique au Royal New Zealand Yacht Squadron à Auckland.
Le forum s’inscrit dans le cadre de la stratégie indo-pacifique de la France visant à développer les liens économiques entre la région française du Pacifique et la Nouvelle-Zélande.
Betch dit qu’il y a un grand potentiel pour développer des liens.
« Il y a plus de deux millions de Français vivant dans l’Indo-Pacifique et nous voulons que cette zone, qui est la région économique la plus puissante du monde, devienne une zone de développement pour la région française.
« Avec la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française, je demande simplement quelle est leur stratégie pour faire plus d’exportations et plus d’échanges avec le reste des pays de la zone. Le gouvernement français est là pour les aider à développer leur relation. »
Valeur diplomatique
Vingt entreprises calédoniennes et 20 entreprises polynésiennes couvrant un large éventail de secteurs ont rencontré 48 entreprises néo-zélandaises.
La délégation ministérielle a rencontré plusieurs hommes politiques néo-zélandais pour discuter des valeurs entre la Nouvelle-Zélande et la France au niveau diplomatique.
Parmi eux se trouvaient le ministre du Commerce Damien O’Connor et la ministre des Affaires étrangères Nanaia Mahuta pour discuter du renforcement des relations bilatérales entre les deux pays, notamment sur le plan économique.
Olivier Betch a ouvert le French Pacific Business Forum avec son associé néo-zélandais, Rino Tirikatene.
Il a également rencontré le maire d’Auckland Wayne Brown et s’est rendu dans le métro d’Auckland pour discuter des besoins de la ville et approfondir la coopération, notamment dans les infrastructures.
Il s’est rendu dans la capitale Wellington pour rencontrer le maire Tory Whanau afin de discuter de la présence d’entreprises françaises en Nouvelle-Zélande et des besoins de transport de la ville.
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