- le conseil a été lancé pour rechercher des points de vue sur l’évolution des MOT à la lumière des progrès de la technologie des véhicules et de la popularité croissante des hybrides et des véhicules électriques
- les propositions incluent la modification de la date du premier contrôle technique des véhicules neufs et l’amélioration de la surveillance des émissions pour lutter contre la pollution
- la sécurité sera au cœur des concertations pour assurer le maintien de la confiance dans les routes du pays
Le ministère des Transports a lancé aujourd’hui (18 janvier 2023) une consultation publique sur l’avenir du MOT au Royaume-Uni.
Des opinions sont recherchées pour mettre à jour les tests MOT pour les voitures, les motos et les fourgonnettes afin de garantir que les contrôles techniques continuent d’équilibrer les coûts pour les conducteurs tout en garantissant la sécurité routière, en suivant les progrès de la technologie des véhicules et en réduisant les émissions des véhicules.
Pour s’assurer que le MOT reste adapté à l’avenir, la consultation lancée aujourd’hui sollicite des avis sur des propositions visant à modifier la date à laquelle le premier MOT pour les véhicules légers neufs est requis de 3 à 4 ans. Le MOT moyen coûte 40 £ et le déménagement pourrait faire économiser aux automobilistes du Royaume-Uni environ 100 millions de £ par an en frais de MOT.
Depuis l’introduction du MOT en 1960 – et surtout ces dernières années – il y a eu des développements majeurs dans les technologies des véhicules tels que la conduite assistée par voie qui ont augmenté la sécurité routière, tandis que la diffusion des voitures électriques et hybrides a rapidement changé la nature des véhicules sur notre routes.
Toute modification du MOT sera appuyée par une campagne d’information menée par le ministère des Transports et la Drivers and Vehicle Standards Agency (DVSA) pour informer les conducteurs des mises à jour du MOT et leur rappeler leur responsabilité de maintenir le véhicule en état de marche.
Veiller à ce que Anglais le maintien de son record de classe mondiale en matière de sécurité routière est au cœur de la proposition. Les données montrent que la plupart des nouveaux véhicules passent le premier test MOT en 3 ans. Le nombre de victimes d’accidents de voiture résultant de dommages aux véhicules étant encore faible, l’analyse gouvernementale suggère qu’un passage de 3 à 4 ans pour le premier contrôle technique ne devrait pas avoir d’impact sur la sécurité routière.
La réalisation d’un contrôle technique 4 ans après l’immatriculation du véhicule est une pratique courante dans de nombreux pays européens, dont la Belgique, le Danemark, la France, l’Italie, l’Espagne et le Portugal.
La consultation a également sollicité des avis sur la fréquence des MOT et sur la manière d’améliorer la surveillance des émissions pour lutter contre la pollution afin d’améliorer l’efficacité des véhicules sur l’environnement.
De nouvelles mesures potentielles comprennent l’introduction de tests pour les polluants tels que le nombre de particules (PN) et NOx pour s’assurer que les voitures diesel, essence et hybrides respectent les exigences en matière d’émissions tout au long de leur vie.
Parmi ces propositions, la consultation examinera si les batteries des véhicules électriques doivent être testées pour améliorer leur sécurité et leur fiabilité. VEsi des mesures supplémentaires doivent être prises pour faire face à un moteur trop bruyant, et comment DVSA peut continuer à sévir contre la fraude au contrôle technique et au kilométrage.
« Érudit primé au bacon. Organisateur. Fanatique dévoué des médias sociaux. Passionné de café hardcore. »