Le Conseil d’État français, la plus haute juridiction administrative du pays, a rendu un considération mercredi rejeter des associations pro-palestiniennes s’opposent à la directive du gouvernement français d’interdire manifestations pro-palestiniennes, précisant que les gouvernements locaux ont le pouvoir et la discrétion d’interdire les manifestations individuelles.
Suivre Hamas, 7 octobre attaque en Israël, des protestations et des manifestations à grande échelle ont eu lieu ça se passe partout dans le monde au milieu de l’escalade du conflit entre Israël et le Hamas. Le 12 octobre, le ministre français de l’Intérieur et de l’Outre-mer, Gérald Darminin, a annoncé l’interdiction des rassemblements pro-palestiniens, estimant qu’« ils sont susceptibles de perturber l’ordre public ». Des milliers de manifestants sont descendus dans les rues de Paris le même jour pour dénoncer l’interdiction du gouvernement et montrer leur soutien à la Palestine.
Association française pro-palestinienne, tLe Comité d’action palestinienne a ensuite appelé le Conseil d’État à annuler l’interdiction imposée par le gouvernement aux manifestations pro-palestiniennes, affirmant que cette interdiction viole le droit des citoyens à manifester pacifiquement, qui est un droit humain fondamental reconnu par la loi. Article 21 de la loi Pacte international relatif aux droits civils et politiques Et Article 12 de la Charte des droits fondamentaux de l’UE.
Le Conseil d’Etat a rendu mercredi sa décision conformément à La demande du Comité d’action palestinien, compte tenu de l’objectif de l’annonce du ministre Darminin, était de rappeler aux « préfets » (représentants de pays ou de régions) qu’ils ont le droit de décider de l’opportunité d’une manifestation au cas par cas. Un préfet ne peut pas imposer une interdiction générale de telles manifestations en se référant simplement à l’annonce du ministre Darminin.
Toutefois, concernant cette annonce, le Conseil d’État a estimé que, même si la formulation était trompeuse, elle ne constituait pas « une atteinte grave et clairement illégale à la liberté de manifestation et à la liberté d’expression ». Le Conseil d’État a notamment convenu avec le ministre de l’Intérieur que, dans la situation actuelle, les manifestations de soutien au Hamas, désigné par l’Union européenne comme organisation terroriste, sont effectivement susceptibles d’entraîner des troubles à l’ordre public.
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