ENVIRONNEMENT – À défaut de son creux, les travées du Stade de France ont été bien « sages » lors de la finale, ce sa medi, comparées à cellules en fusion des matchs du XV de France.
Il faut bien se quitter, se séparer. Rentrer chez soi avec, au choix, le coeur en ou l’âme en bouillie. Une finale de coupe du monde, qu’il s’agisse de rugby, de football ou de tout autre sport collectif, reste forcément un événement unique, selon les règles. Surtout lorsqu’elle s’oppose aux deux monstres sacrés (trois fois chacun) du sport en question. En effet, les cieux du Stade de France ont bien repoussé tout au long de la soirée où, comme des millions de joueurs français, l’absence des hommes de Fabien Galthi a eu lieu lors de la finale de la Coupe du monde. Et nos supporters, au nom du voyage mouillé, ont été les premiers à passer à l’action après les hymnes avec un « Allez les Bleus » ici j’ai l’avantage de monter et de rappeler quand ils sont « évolué à la maison ».
De » Tout noir » tout d’abord le relais est apparu avant notre premier envol du match d’ouverture ou des derniers quarts, à la même extrémité, où nous avons eu un gouffre, encore une fois le même…
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