« Nous avons émis de nombreuses réglementations environnementales au niveau européen, plus que dans d’autres pays », a-t-il déclaré. « Maintenant, nous devons le mettre en œuvre, sans apporter de nouveaux changements aux règles, sinon nous perdrons tout ce que nous avons. [industrial] joueur. »
Il a affirmé qu’en termes de réglementation, l’UE est « supérieure à l’Amérique, à la Chine et au reste du monde ».
« Nous ne devrions pas apporter de nouveaux changements aux réglementations », a-t-il ajouté, avertissant qu’un environnement réglementaire instable ne ferait que nuire aux investissements.
L’appel de Macron à stopper les nouvelles lois visant à réparer les dégâts environnementaux semblait étrangement conforme aux arguments qui ont émergé lors de la réunion de la semaine dernière du Parti populaire européen (PPE), où de hauts législateurs réunis à Munich ont adopté une ligne dure. s’oppose aux nouvelles réglementations sur les pesticides et la restauration de la nature. Poursuivre cette politique, selon eux, signifierait mettre en péril la sécurité alimentaire à long terme de l’UE.
Dans une interview accordée à POLITICO, le député européen allemand Christian Ehler, qui dirige les travaux du Parlement en la matière Loi sur les industries nettes zéro, qui vise à augmenter la capacité de production de technologies énergétiques vertes dans l’Union, a mis en garde à plusieurs reprises contre une élimination rapide de l’utilisation de substances perfluorées et polyfluorées (PFAS), des produits chimiques dangereux encore présents dans l’environnement. Il sait pertinemment que, s’il n’existe pas de moyen facile de les remplacer, une interdiction rapide pourrait retarder les ambitions industrielles vertes du continent.
Il s’agit d’une position considérée comme fallacieuse par le principal rival politique du PPE, le Parti socialiste et démocrate (S&D).
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