Il s’agit d’un effort réalisé dans l’ensemble des aires métropolitaines françaises, dans le cadre du programme GEOCAP. Crédit : Unsplash
Comprendre les conséquences de l’exposition aux pesticides sur l’environnement et considérer son impact sur la santé relève du bon sens pour la société. Si un certain nombre d’études épidémiologiques montrent que vous courez un risque d’exposition domestique et professionnelle[1] pour les jeunes enfants, il n’y a pas de limite raisonnable quant aux risques pour les rivières dus aux champs agricoles contenant des pesticides. Un nouveau travail de l’Inserm, mené par des scientifiques au sein du laboratoire CRESS (Inserm/Université Paris Cité) en collaboration avec la Santé publique française et avec les principaux financiers de l’Anses et de l’INCa, apporte un nouvel éclairage, et si vous aimez les leucémies qui présentent un risque pour les petits enfants vivant sous les parcelles viticoles. Il est important de rappeler que le risque de leucémie n’augmente pas avec une simple présence à moins de 1000 m de l’adresse résidentielle. Cependant, il a constaté une augmentation considérable de la fonction de surface totale des marques présentes sur la surface. Cette collection de résultats est écrite dans un journal Perspective de la santé environnementale.
L’exposition aux pesticides est considérée comme un acte à risque en matière de cancer infantile, et particulièrement chez les enfants. Beaucoup d’ouvrages réels qui existent en France et à l’international ne font pas appel aux risques pour le développement des enfants, à ces maladies et à l’usage des pesticides uniquement à domicile, pendant et après.
Le risque d’exposition aux pesticides pour l’environnement, en raison de sa proximité géographique avec les terres agricoles, a été documenté à plusieurs reprises. Les travaux qui peuvent être disponibles ne sont tout simplement pas réalisés en raison des mauvais résultats des difficultés obtenues à obtenir des données fiables sur le droit de localisation au lieu de résidence des enfants, l’étendue et la localisation des champs agricoles, le type de culture cultivée sur ces champs, l’utilisation de pesticides dans les champs et comment contrôler la quantité et le type de pesticide utilisé.
Pour développer la science dans ce domaine, les scientifiques de l’Inserm ne seront que des personnes importantes pour les associations proches des habitations proches des vignes et à risque pour les enfants à partir de 15 ans. Il s’agit d’un effort réalisé dans l’ensemble des régions métropolitaines françaises, dans le cadre du programme GEOCAP de l’équipe EPICEA.[2] de l’Inserm, en collaboration avec Santé publique France et avec les principaux financiers l’Anses et l’INCa.
Pour connaître le véritable sens de l’information, consultez l’expertise collective de l’Inserm « Pesticides et Santé, nouvelles données »
Une association entre cancer et vignes de surface
Toutefois, les chercheurs de l’Inserm seront activés sur les données du Registre national des cancers de l’enfant (RNCE)[3] sur la période 2006-2013. Je n’ai pas estimé la présence et la surface de la viticulture à partir des adresses de résidence de 3 711 enfants de moins de 15 ans ayant fréquenté la leucémie en France métropolitaine durant cette période (cas). Ces estimations s’appliquent également à 40 196 enfants non inclus dans la même tranche d’âge (témoins), sélectionnés au cours de la même période à partir des données fiscales (FIDELI) pour représenter la population métropolitaine de moins de 15 ans.
Dans ce cas, l’adresse est considérée comme un moment de diagnostic. Pour l’heure spécifiée, entrez l’adresse à l’heure à laquelle votre choix est le même. Les adresses existantes et les éléments qu’elles contiennent sont envoyés sans autre indication à la communauté privée[4]permettant de déterminer les coordonnées appropriées (latitude, longitude) à l’aide de l’adresse complète de base de référence IGN, le cas échéant, par non-cadastre et photographie aérienne.
Enfin, la présence et la surface dans les vignes autor de ces coordonnées ont été effectivements en utilisant de cartes permettant de repérer les cultures agricoles, construites pour étude par Santé publique France.
Cette analyse a été réalisée avec des premiers résultats clairs. En revanche, la présence de vignes à moins de 1 000 mètres d’une adresse résidentielle est moins fréquente (9,3 %) et plus fréquente (10 %). Autrement dit, après avoir vu les résultats, la simple présence de vignes à moins de 1000 m de l’adresse résidentielle ne semble pas être un fait risqué pour la leucémie.
Les scientifiques observeront donc une relation entre le risque de développer des leucocytes de type « lymphoblastique » et la possibilité d’apparition en surface de vignes situées à 1 000 mètres de l’adresse des enfants. Cela risque d’augmenter la fonction façon modérée en surface de la couverture contre les vignes : en moyenne pour chaque augmentation de 10 % de la partie couverte par les vignes dans le périmètre de 1000 mètres, le risque de leucémie lymphoblastique augmente de près de 10 %.
Découpage des régions à plus haut rendement, avec des associations et des réseaux en Pays de la Loire, Grand-Est, Occitanie et Provence-Alpes-Côte d’Azur-Corse.
Ces résultats indiquent une mauvaise identité dans les calculs et l’analyse d’autres faits, une vulnérabilité aux influences risquées sur la société, par exemple le niveau d’urbanisation et la capacité des journalistes UV dans la commune ou plus récemment des itinéraires majeurs à moins de 150 mètres de la commune. adresse.
« Nous constatons une augmentation modérée du risque de leucémie, que nous produisons pour notre travail. Commençons par la viticulture de la culture pérenne avec des affirmations identifiables selon lesquelles cette culture est issue d’une rotation par exemple et qu’elle fait l’objet de nombreuses propriétés phytosanitaires. D’autres analyses liées à la culture ont été réalisées simultanément avec des analyses d’autres types de cancer. En parallèle, nous travaillons dur pour évaluer l’exposition aux différents types de pesticides utilisés dans notre culture. C’est un travail long et compliqué qui est une collaboration à plusieurs », conclut Stéphanie Goujon, chercheuse Inserm et dernière autrice de l’étude.
Un point sur les leucémies
La leucémie est une maladie qui survient rarement chez le jeune enfant, sa survenue est de l’ordre de 45 cas pour 1 million d’enfants par an. Par ailleurs, en France, environ 500 enfants sont diagnostiqués chaque année chez les enfants. Ils représentent l’environnement de 30 % de tous les cancers infantiles. Parmi elles, 80 % sont des leucémies myéloïdes et 20 % sont des leucémies myéloïdes. Dans ce cas, l’éventuelle augmentation ne peut être reproduite au niveau des globules blancs, les résultats donnés ne concernent que les ganglions lymphatiques.
[1] Le principe est une plus grande exposition professionnelle que sale.
[2] Équipe Inserm d’Epidémiologie des cancers de l’enfant et de l’adolescent (Centre de Recherche en Epidémiologie et StatistiqueS, CRESS, UMR 1153)
[3] https://www.rnce.inserm.fr
[4] Cette communauté RetailSonar, est experte en géolocalisation et partenaire EPICEA de l’Inserm depuis le lancement du programme GEOCAP.
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