L’envoyé économique français a déclaré que cela ne devait pas nécessairement être un moment de Brexit pour la France.

QEuropéens Les élections législatives et le premier tour des élections anticipées convoquées par le président Emmanuel Macron en réponse ne laissent aucun doute sur la domination des partis politiques extrémistes en France. Le Rassemblement national de droite et dure (Infirmière), arrivé en tête à l’issue du premier tour, avec 33 % des suffrages, a défendu les « préférences nationales » pour les citoyens français en matière de logement, d’emploi et d’avantages sociaux, et pour les entreprises françaises en matière d’achats. Les extrêmes politiques français – y compris certaines parties de l’alliance de gauche Nouveau Front populaire qui a terminé deuxième au premier tour, avec 28 % – colportent un programme eurosceptique. Compte tenu de ces risques pesant sur le rôle central de la France dans Union européennecertains se demandaient même si le pays se dirigeait vers un « Frexit ».

J’ai pu constater par moi-même à quel point la stabilité politique et économique d’un pays est importante pour stimuler l’innovation et la croissance. Embauché par Steve Jobs en 2000, j’ai déménagé dans la ville animée de Londres en tant que directeur général et vice-président d’Apple pour l’Europe, et j’y suis resté plus de 13 ans. Le Brexit et l’élection de M. Macron a déplacé la dynamique économique de Londres vers Paris. J’ai été témoin de ce changement lorsque le président m’a nommé ambassadeur de France aux investissements internationaux en 2017 et que j’ai commencé à diriger Business France, une agence gouvernementale qui promeut la France auprès des investisseurs étrangers.

Lancelot Bonnay

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