La France est confrontée à une période d’incertitude alors que le gouvernement se tourne vers une nouvelle administration

Alors que Paris est désormais en mode « olympique », cette semaine verra des changements importants dans les efforts visant à former un gouvernement, puisque le gouvernement d’Attal a démissionné et n’agit désormais qu’en mode « gardien ».

D’ici la fin de la semaine (17, 18, 19), la nouvelle Assemblée se réunira, dont le premier objectif sera d’élire un président de l’Assemblée (ainsi que des vice-présidents, des présidents de commission et des secrétaires). Il est probable qu’un pacte soit conclu pour élire un président de l’Assemblée et ensuite « répartir » les autres postes.

Le choix du Premier ministre n’est plus clair et est devenu compliqué par les manœuvres au sein et entre les partis. Un petit groupe de gauche s’est séparé de La France Insoumise (LFI) pour tenter de former une alliance avec les écologistes. Alliée de Jean Luc Mélanchon, Huguette Bello a été signalée comme candidate au poste de Premier ministre mais a refusé d’être prise en considération, tandis que le nom de Laurance Taubiani, économiste et écologiste, a également été évoqué.

LFI semble de plus en plus en décalage avec le processus de formation d’une coalition et il n’est pas impossible que l’on assiste à une scission avec les socialistes. D’autres partis se positionnent également. Gabriel Attal a été élu à la tête du groupe Renaissance (léger changement de nom Ensemble pour la République, EPR) et écoute les avis des adhérents du parti sur la position par rapport à la gauche et à la droite. A droite (républicaine), le leader Laurent Wauquiez fait de même, avec également quelques dissidents.

Par ailleurs, on constate qu’une autopsie est en cours au Rassemblement National (la personne chargée de sélectionner leurs candidats a démissionné), et on espère que lors des prochaines élections, ils seront bien mieux préparés. Les véritables compromis politiques sur des questions telles que le salaire minimum, les impôts et l’immigration ne sont pas clairs, et après une longue réflexion sur les prochaines élections, un gouvernement de « base » fragile est susceptible de se former. Notre point de vue : L’ambiance publique en France est relativement calme mais le sentiment de crise constitutionnelle grandit à l’approche des Jeux olympiques. Nous sommes actuellement à un stade où les principaux partis réfléchissent aux différentes mesures à prendre pour organiser des élections.

Pour donner un sentiment d’urgence, lundi matin, la Cour des comptes a publié un tableau de la dégradation des finances publiques (son président Pierre Moscovici a souligné la nécessité de réduire la dette). Une grande partie du « bruit » public s’est concentrée sur LFI (extrême gauche), mais nous pensons que la force du prochain gouvernement dépendra d’une éventuelle scission entre les socialistes et LFI, les socialistes rejoignant ensuite les partis du centre au cours du scrutin. forme d’une coalition.

Vers la fin de la semaine (17, 18, 19ème), une nouvelle Assemblée se réunirait, dont le premier objectif serait d’élire un président de l’Assemblée (ainsi que des vice-présidents, des présidents de commission et des secrétaires). Il est probable qu’un pacte soit conclu pour élire un président de l’Assemblée et ensuite « répartir » les autres postes.

Le choix du Premier ministre n’est plus clair et est devenu compliqué par les manœuvres au sein et entre les partis. Un petit groupe de gauche s’est séparé de La France Insoumise (LFI) pour tenter de former une alliance avec les écologistes. Alliée de Jean Luc Mélanchon, Huguette Bello a été signalée comme candidate au poste de Premier ministre mais a refusé d’être prise en considération, tandis que le nom de Laurance Taubiani, économiste et écologiste, a également été évoqué. LFI semble de plus en plus en porte-à-faux avec le processus de formation d’une coalition et il n’est pas impossible d’assister à une scission avec les socialistes.

D’autres partis se positionnent également. Gabriel Attal a été élu à la tête du groupe Renaissance (léger changement de nom Ensemble pour la République, EPR) et écoute les avis des adhérents du parti sur leur position à gauche et à droite. A droite (Parti Républicain), le leader Laurent Wauquiez fait la même chose, également auprès de certains dissidents.

Par ailleurs, on note l’autopsie en cours au Rassemblement National (la personne chargée de sélectionner leurs candidats a démissionné), et on espère que lors des prochaines élections, ils seront bien mieux préparés.

Les véritables compromis politiques sur des questions telles que le salaire minimum, les impôts et l’immigration ne sont pas clairs, et en réfléchissant sérieusement aux prochaines élections générales, un gouvernement simple et « de base » est susceptible d’être formé.

L’ambiance publique en France est relativement calme, mais un sentiment de crise constitutionnelle grandit à l’approche des Jeux olympiques. Actuellement, nous en sommes au stade où les principaux partis réfléchissent à diverses mesures à prendre pour organiser des élections générales. Pour ajouter au sentiment d’urgence, lundi matin, la Cour des Comptes a publié un tableau de la détérioration des finances publiques (son président, Pierre Moscovici, a souligné la nécessité de réduire la dette).

Une grande partie du « bruit » public est centrée sur LFI (extrême gauche), mais mon sentiment est que la force du prochain gouvernement reposera sur la possibilité d’une scission entre les socialistes et LFI, auquel cas les socialistes rejoindraient les partis centristes dans une certaine forme de coalition.

Charlotte Baudin

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