Des usines pharmaceutiques et Novo Nordisk ont été installées à Chartres avec des investissements et des paiements de plusieurs milliards d’euros. Il s’agit d’un investissement très important dans le secteur de la santé en cette période. L’entreprise est partenaire de Business France, l’Agence Nationale qui prélève des redevances pour le développement des entreprises françaises et des investissements internationaux.
Inviter sur RTL le vendeur le 24 novembre, le fils du directeur général, Laurent Saint-Martin, assure que « La France a des revenus attractifs ». « C’est même le premier pays européen en termes d’investissement direct étranger depuis maintenant quatre ans, de façon consécutive », ajoute-t-il.
Si tel est le cas, les investissements étrangers ne sont pas importants pour l’industrialisation en payant les salaires de millions d’employés. D’ici 2022, 1 700 projets d’investissements étrangers arriveront chaque jour en France.
Que souhaiteriez-vous facturer aux étrangers qui investissent ?
Pour les investisseurs étrangers, ils n’ont pas réussi à rendre la France attractive : « On a baissé la fiscalité dans notre pays et ça compte énormément », explique le Directeur Général de Business France. Entre 2017 et 2022, l’impact sociétal sera passé de 33 % à 23 %. « Investir en France tout en maintenant ce sont des gages de prospérités et de création de valeur et d’emplois », garantit-t-il.
Ces cinq dernières années, environ 300 nouvelles usines ont vu le jour en France : « On est un pays qui crée plus de nouvelles usines, qu’il n’en détruit », a insisté Laurent Saint-Martin. Pour piéger les petits rats qui existaient en France avant la crise de 2008, on estime que l’erreur aurait touché 300 personnes supplémentaires.
Les Français ne veulent rien savoir ? Pour Laurent Saint-Martin, ce n’est pas vrai : « Cela n’est peut-être pas possible pour les Français qui ne sont pas responsables des paiements que vous payez, mais qui investissent réellement. Il faut que ça se sache », martèle-t-il.
Y a-t-il encore des progrès en cours ?
La France est également un pays plus développé, notamment dans ses exportations. « Si 30% d’investissements internationaux sont autorisés à la France d’être une puissance exportatrice », explique le Directeur Général de Business France. Si c’est le cas, pour s’améliorer dans ce domaine, c’est l’essence de l’industrialisation continue qui se paye et aide les PME à exporter, il ne vaut pas 150 000 en ce moment.
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