Des entreprises françaises, chinoises, indiennes et égyptiennes impliquées dans la lutte pour la ligne ferroviaire Namibie-Botswana

Le Bureau de gestion du projet ferroviaire du Trans-Kalahari (TKR-PMO) a reçu l’intérêt de 12 entreprises pour financer une étude de faisabilité et développer un nouveau corridor ferroviaire stratégique entre la Namibie et le Botswana.

Des entreprises françaises, indiennes et chinoises sont impliquées, selon un avis publié sur le site TKR-PMO.

Le corridor ferroviaire TKR a été mis en œuvre dans le cadre d’un accord bilatéral entre les gouvernements du Botswana et de la Namibie et sera utilisé pour transporter des produits tels que du carburant, du minerai de fer, du cuivre et du charbon vers et depuis les marchés étrangers.

Les entreprises étrangères qui ont manifesté leur intérêt sont :

  • Entrepreneur NGE de France
  • Orascom Construction Egypte
  • Entreprise chinoise de construction de génie civil
  • Lesedi Nehawu Investment JV d’Afrique du Sud
  • Vikas Nigam Rail Limited de l’Inde
  • Consortium de l’Initiative ferroviaire du Trans-Kalahari – Collaboration Namibie-Afrique du Sud,
  • Nations Capital Projects PTY (LTD) et Seven Five Investments CC, tous deux d’Afrique du Sud

Les cinq entreprises namibiennes qui ont manifesté leur intérêt sont :

  • Bonjour le groupe
  • Énergie de la côte ouest
  • Investissements Fullbright
  • broyeur
  • Propriété de North Mega

Le mois dernier, le Projet Zawya signalé que Transnamib recherche des investisseurs pour deux projets ferroviaires transnationaux stratégiques.

« Les réponses reçues aideront à définir les exigences du projet, le modèle de financement et le processus de passation de marchés prévu, ainsi qu’à fournir des informations aux États membres concernant les décisions concernant le transport lourd », indique l’avis du TKR-PMO.

TKR-PMO propose de déterminer le meilleur tracé du tracé grâce à une étude de faisabilité bancable et de trouver des partenaires appropriés pour financer et développer ou moderniser l’infrastructure ferroviaire existante et construire une nouvelle ligne de 1 500 kilomètres entre le Botswana et la Namibie.

Une demande de propositions (RFP) distincte, publiée « si et quand », désignera un investisseur/développeur pour entreprendre le financement et le développement du nouveau corridor ferroviaire proposé, indique le document. Les partenaires sélectionnés financeront, développeront, exploiteront, entretiendront et assureront la transition du projet.

Les composantes du projet comprennent des installations de chargement à Mmamabula au Botswana, la construction d’une ligne ferroviaire et/ou la modernisation de l’infrastructure ferroviaire existante de Mmamabula au port de Walvis Bay en Namibie.

Un protocole d’accord (MoU) pour la ligne ferroviaire a été signé en 2010 et une étude de préfaisabilité a été réalisée en 2011. Un accord bilatéral a été signé en 2014 et une étude de développement a été réalisée en 2016.

(Écrit par Sowmya Sundar ; édité par Anoop Menon)

(anoop.menon@lseg.com)

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Lancelot Bonnay

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