Pour les coureurs de dinde et au-delà, les chaussures sont le secret le moins gardé

Chaussures Vanessa Hua Hoka. Photo: Vanessa Hua

À peu près à la même époque l’année dernière, j’ai demandé à un ami triathlète des suggestions sur une bonne chaussure de course. Les marques que je porte depuis des décennies sont devenues maladroites et moins durables. Il a recommandé les Hokas, même s’il m’avait prévenu que leurs semelles épaisses avaient l’air un peu ridicules.

À 5 pieds 1 ½, ça ne me dérange pas de faire un tour. J’ai aussi tendance à sprinter et ma foulée ressemble à celle d’un Clydesdale au galop. Quand je porte des chaussures bleu marine, avec du bleu sarcelle et du rose, je me sens comme Mercure dans ses sandales ailées, légères comme une plume mais amorties à chaque pas. La forme est maximaliste, par rapport au style courir presque pieds nus.

J’ai également apprécié les recommandations d’Ironwoman, qui ressemblaient à des connaissances internes, même si je n’allais pas utiliser mon partenaire pour organiser une compétition comprenant un marathon, une natation de 2,4 milles et un cycle de 112 milles. Je trouve aussi cool de porter des vêtements qui viennent de France. Désormais basé à Goleta (comté de Santa Barbara), son nom est agréable à prononcer et signifie planer ou voler en langue maorie.

Sur Gratitudej’envisage de l’attacher une dinde qui court, rejoignez des centaines de milliers de coureurs à travers le pays. A ma grande surprise, j’ai appris il devient le jour le plus populaire de l’année pour les courses, peut-être en raison de l’atmosphère amusante et familiale à faible enjeu et des frais que la course va à la charité.

De tels événements aident à faire pomper votre sang avant le début de la saison de la gourmandise. (Cette semaine, j’ai échangé des moitiés de tarte avec deux groupes d’amis différents, donc nous avons chacun une délicieuse version de Frankenstein.)

L’Oakland Turkey Trot comprendra une course de 5 km, une course pour les enfants Run for Wildlife avec le zoo d’Oakland et un festival de la ligne d’arrivée avec de la musique live et une zone de divertissement. Et peut-être beaucoup de paires de Hokas. Photo: Trot de dinde d’Oakland

Aux courses, autant voir beaucoup de Hokas. Avez-vous un partenaire? Il y a quelques mois, j’ai eu ma première idée que ce qui ressemblait à un secret était en fait bien connu et répandu. L’animateur du podcast John Hodgman mentionne le diss ultime : un jeune commis a recommandé Hokas, parce que son père et ses amis de cet âge les portaient !

J’ai vérifié : Hodgman a 51 ans. J’ai 47 ans. Aux officiers, je soupçonne que j’appartiens aussi à cette génération.

Apparemment, Britney Spears porte Hokas, tout comme les actrices Reese Witherspoon et Gwyneth Paltrow. Leur sceau d’approbation peut attirer les fans qui peuvent s’offrir des chaussures de course, mais pas des robes de bal ou les bijoux de leurs célébrités préférées.

Je n’ai jamais été du genre à arrêter d’écouter des groupes ou à ignorer les restaurants parce qu’ils deviennent trop populaires, même si j’ai peut-être eu la satisfaction de le savoir avant que cela ne devienne populaire. Mais les chaussures Hoka ont également trouvé un public parmi les plus accomplis.

Baskets Hoka bleues vues lors de la Fashion Week de Londres en janvier 2020. Photo: Edward Berthelot / Getty Images 2020

Avis en ligne cite à plusieurs reprises l’appréciation des baskets, après une opération à la cheville, au genou ou au dos. Les exemples incluent « j’ai jusqu’à 50 livres de surpoids, j’ai donc besoin de plus de stabilité et d’amorti » et « tout le monde dans mon cabinet de physiothérapie les recommanderait et les utiliserait (alors) j’ai décidé de les essayer ».

À ma grande consternation, j’ai réalisé que les Hokas sont la dernière itération de ces chaussures « marcheur de centre commercial » gonflées et confortables. Mon amie triathlète m’a dit qu’elle avait eu la même prise de conscience récemment, au cabinet du dentiste. Il portait une paire noire. Il y avait un homme bossu dans les mêmes chaussures, qui marchait très lentement, avec beaucoup de difficulté.

Ami triathlète ? Ou peut-être quelqu’un qui a besoin de baskets confortables ?

Félicitations à tous ceux qui participent à leur propre triathlon, qui frappent le trottoir, qu’il pleuve ou qu’il fasse beau, métaphoriquement et littéralement, pour franchir la ligne d’arrivée.




  • Vanessa Hua

    Vanessa Hua est l’auteur, plus récemment, de « La Cité Interdite ». La colonne apparaît le vendredi dans Agenda.

Jacques Fontaine

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