Le fanfaron des aristocrates de la campagne anglaise se rend en France

Downton Abbey : une nouvelle ère commence avec après le mariage, le chauffeur le plus chanceux du Yorkshire, Tom Branson, qui a perdu son premier amour, Lady Sybil, mais retrouve la joie avec Lucy Smith (Tuppence Middleton) et gère le domaine de Downton.

C’est fini. Il y a deux scénarios, tous deux quelque peu invraisemblables, que nous ne suivons pas vraiment en tant que redditions.

Le plus scandaleux est de léguer une villa dans le sud de la France à Tom et à la fille préadolescente de feu Sybil, Sybbie, par la comtesse de Grantham’s Dowager (Maggie Smith), qui pensait que c’était une blague quand quelqu’un a écrit pour dire qu’elle avait hérité une.

Maintenant, il a un pied dans la tombe et il passe devant la villa. Visite, quelqu’un?

Rien de plus difficile pour un Anglais lors d’un voyage en France qu’un majordome anglais, et le gardien de la tradition de Downton, M. Carson (Jim Carter), sort de sa retraite pour s’assurer que le comte de Grantham (l’intemporel Hugh Bonneville) et Lady Grantham (Elizabeth McGovern) sont pris en charge. en plein cœur de la nature sauvage de la Côte d’Azur.

La maison est incroyable; sans parler de la femme qui pensait que ce serait la sienne, la veuve de Madame de Montmirail (Nathalie Baye).

De retour à Downton, une histoire plus bruyante est en cours, impliquant l’intervention d’Hollywood pour faire un film en échange d’assez d’argent pour acheter un nouveau toit.

On s’amuse beaucoup avec la divine Myrna Dalgleish (Laura Haddock) en sirène du cinéma muet qui va perdre sa carrière car elle a la voix d’une Cockney Barrow Girl.

Entrez la calme et impeccable Lady Mary (Michelle Dockery) – ayant une petite conversation avec le réalisateur (Hugh Dancy) pendant que son mari est absent – qui exprime les répliques de Myrna.

Au moment où nous avons dépassé les principales craintes de la lignée – pas seulement des connards mais peut-être à moitié français ! – un drame de santé et de défis juridiques pour la villa, nous revenons aux plis chaleureux de prestige et de droits créés par l’écrivain Julian Fellowes, qui a fait ses armes dans le mélodrame aristocratique il y a plus de 20 ans lorsqu’il écrivait Parc Gosford pour le réalisateur Robert Altman.

Le film présente également à Maggie Smith le rôle de la grande dame qu’elle a perfectionné au fil des ans avec un bon timing et un plaisir astucieux.

Au moment où cela s’est terminé, pas une pierre n’avait été manquée à Downton, pas un arc n’avait été manqué.

Ce n’était pas une nouvelle ère comme un adieu à l’ancienne, jusqu’à la scène finale de l’apparat réconfortant que l’Angleterre a si bien fait.

Cet avis est paru pour la première fois le Du quotidien. Lire l’original ici.

Jacques Fontaine

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