Il est grand, important et grand, et son absence laissera une marque

Le Syndicat des rédacteurs de la presse libanaise pleure l’un de ses principaux membres, George Farshakh, « qui est entré dans la profession à la fin des années 1960 en tant que journaliste et écrivain, avant de passer à la télévision libanaise avec l’élection de feu le président Suleiman Franjieh. Au cours de cette période, il était le rédacteur en chef de ses bulletins d’information.

Il précise que « de ce fait, il est parti en France pour terminer ses études supérieures, est titulaire d’un doctorat de l’Université « Sorbonne » en « Sociologie des médias », et parallèlement il travaille à Radio « Monte Carlo », et travaille pour période dans le domaine des médias à Dubaï », a noté Il a ajouté que « bien qu’il réside dans la capitale française, il visite son pays d’origine chaque année, et il ne quitte jamais sa famille, ses amis et sa ville natale. Il visite également le syndicat des éditeurs, où il a rejoint en 1971, et veut renouveler sa carte de guilde, et pour ce faire, il a une mission. »

Dans sa nécrologie, le Syndicat des rédacteurs en chef de la presse libanaise, Joseph Al-Kossifi, a souligné que « nous disons adieu à nos chers et chers collègues, que nous avons connus à l’âge d’or des médias qui a marqué le Liban à une époque de son histoire, de dont Beyrouth était la mère, ville cosmopolite et joyau de l’Orient arabe.
Le grand défunt est la braise de l’activité et de l’éclat, imprégné de la nouveauté, de la sérénité et de la persévérance associées à l’ambition et à la lutte pour le meilleur. Cette persévérance l’a conduit sur la voie du succès, et ses dons se manifestent dans des livres littéraires, historiques et autobiographiques, des recherches savantes en sociologie des médias et divers documentaires.

Il a déclaré que « George Farshakh nous a quittés, et le Liban a gémi et se tordait sous les coups de la souffrance, et ce n’était pas la patrie qu’il voulait et dont il rêvait. Des traces, alors que la presse libanaise dans la patrie et sa propagation n’ont pas une position élevée et une figure importante et majestueuse The Northern Boy qui a gravé dans son cœur un cèdre qui a grandi avec lui et a été arrosé, la torche de sa mémoire brûlerait encore, même si elle devenait un pli de la tombe.

Fernand Lefèvre

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